Paul m’a fait découvrir le candaulisme au féminin à sa façon. J’étais attachée aux pieds du lit et j’ai tout vu sans rien pouvoir faire. Le pire est que j’ai aimé cette expérience.

Soumise, surtout au lit, j’aime être entravée, offerte à son plaisir, ses envies, je me nourris de cet abandon en étant sa chose, son jouet. Ci-dessous l’histoire d’une drôle d’aventure qui m’a troublée.

Je sentais bien qu’il mijotait quelque chose ce soir là quand, il m’a demandé de mettre une robe si légère qu’elle ressemble à une chemise de nuit. Il m’avait précédemment allumée comme un fou en m’imposant une ceinture de chasteté pendant deux jours non stop. Ce week-end là, il s’est amusé de moi, de mes envies. Il me caressait, m’embrassait comme un fou puis, quand j’étais au paroxysme de l’excitation, il se caressait devant moi avant de jouir sur ma poitrine. Ma frustration l’amusait.

Le lundi matin, juste avant que nous partions travailler, il m’a retiré la ceinture de chasteté puis annoncé que le soir même ...... j’allais aimer sa surprise. Comme nous n’avons qu’une voiture, il me récupère aux pieds de l’immeuble où je travaille. Pendant le trajet, il n’arrêtait pas de faire des sous-entendus coquins, de passer sa main sur mes cuisses que je devais garder écartées en bonne soumise se devant d’être disponible.

Arrivés à la maison, il m’a donc imposée de me doucher puis de mettre une robe si légère qu’elle ressemble à une chemise de nuit. Il affichait son sourire coquin que je connais si bien et qui annonce qu’il a des idées perverses derrière la tête. Paul a installé une chaise aux pieds du lit avant de me faire mettre à quatre pattes fesses à l’air. Dans mon chaton et mon anus il a inséré deux oeufs vibrants, puis un plug dans chacun de mes orifices. Tout en les maintenant, il m’a faite asseoir sur la chaise protégée par une serviette avant de me bondager sévèrement avec les mains menottées dans le dos.

Un bâillon est venu compléter ses entraves ainsi qu’un bandeau pour m’aveugler. J’avais envie de lui, de sexe, de luxure, ses préparations m’excitaient un maximum. J’attendais la suite avec impatience quand la sonnette m’a faite bondir et angoisser. Deux minutes plus tard, alors que mon inquiétude grandissait, des mains se sont posées sur mes épaules.

• Tu peux la déshabiller un peu, libère ses seins, tu vas voir, ils sont magnifiques.

La personne ne parlait pas, elle a juste suivi ses directives et en a profité pour me toucher et jouer avec mes tétons. Alors qu’elle les faisait rouler doucement sous ses doigts avec une agilité certaine, Paul a mis en route l’oeuf vibrant logé dans mon chaton. Le bondage, les attouchements et le fait de ne pas savoir ce qui allait m’arriver, en plus des vibrations, m’ont fait gémir de plaisir sans pudeur. Je me donnais à ces doigts inconnus avec grand plaisir pendant qu’il caressait ma nuque en me disant des mots d’amour.

Soudain, Paul a mis en route l’oeuf vibrant logé dans mes fesses et ils m’ont abandonnée à mes vibrations et questionnements. J’ai entendu des gémissements féminins et tendu l’oreille pour essayer de deviner ce qu’il se passait, qui pouvait être là.

• Il est temps de passer aux choses sérieuses ! A déclaré Paul.

C’est quand il a posé les pinces à sein sur mes tétons, que j’ai cru comprendre que la soirée m’était dédiée, que j’allais souffrir un peu, je ne m’attendais pas à la suite du tout. Quand on a les yeux bandés et uniquement l’ouie pour avoir des indications, elle semble s’affiner et capter mieux les bruits. Il me semblait entendre que quelqu’un baisait sur le lit. Je ne comprenais pas ce qu’il se passait mais entendre des gémissements féminins m’excitait. J’étais convaincue qu’il avait invité un couple libertin et me remettrait sous ceinture de chasteté, histoire de pousser encore ma frustration.

• Accroche-toi à la chaîne de ses pinces à sein, comme ça, elle partagera encore plus notre plaisir. A dit Paul avant d’ajouter qu’elle pouvait me retirer mon bandeau.

Et là, j’ai tout vu !

Et là, j’étais folle de rage !

Et là, je lui en ai voulu et je me suis débattue en vain.

Devant moi, juste sous mes yeux, mon mari et Maître baisait une jolie brune en levrette. La fille s’accrochait à la chaîne de mes pinces à sein en la tirant au gré de ses mouvements en elle. Paul m’adressait des bisous par-dessus cette salope qu’il baisait comme un sauvage. Les seins généreux de la fille ballottaient en même temps que les miens souffraient des pinces.

• Je t’aime ma chérie quand tu es furieuse. M’a dit Paul en continuant de la baiser.

Soudain, il s’est retiré de la fille qu’il a couchée sur le dos en la faisant se positionner pour que je vois bien sa chatte. Il a soulevé ses jambes et l’a à nouveau pénétrée. Je voyais tout, ses belles fesses qui se serraient au fur et à mesure de ses mouvements puis sa verge défonçant cette nana sous mes yeux. Il s’est déchaîné sur elle, elle semblait adorer se faire défoncer et poussait des cris de folie au plus fort de leur plaisir et quand elle a joui.

• Je vais jouir sous tes yeux avec une autre fille dont je peux faire ce que je veux ce soir. Regarde comme elle est belle quand elle se fait enculer. Elle adore ça !

Et là, il l’a remise en levrette et s’est positionné derrière elle. La fille se mordait les lèvres quand il l’a sodomisée. J’avoue que cela me plaisait bien de la voir souffrir un peu surtout que Paul est plutôt bien monté. Le visage de la fille s’est métamorphosé rapidement, ses yeux devenaient vitreux, ses seins ballottaient sous ses asseaux de plus en plus v i o l e n t s. Sa bouche semblait chercher l’air, comme un poisson sur l’étal. Il a joui rapidement, dix fois plus vite que d’habitude en me disant que mes yeux l’excitaient trop.

Plaqué contre la fille, il m’a crié « je t’aime » au moment de son plaisir. La fille lui a dit « merci monsieur » quand il s’est retiré d’elle. Et là, il lui a dit de s’occuper de moi pendant qu’il retirait son préservatif. Cette salope a retiré mes pinces à seins trop vite, j’ai crié à travers mon bâillon. Puis elle s’est mise à manger mes tétons avec douceur comme pour se faire pardonner. Paul m’a libérer des cordes mais pas des menottes et faite me coucher sur le lit. Il a entravé mes jambes très écartées et lui a ordonné de me faire jouir. Cette salope s’est jetée sur mon chaton, elle l’a dévoré comme si elle mourait de faim en jouant avec mes plugs. Paul nous a rejoint rapidement, il a retiré mon bâillon et, sans aucune gêne pour ma bouche baveuse, il m’a embrassée comme un fou pendant qu’elle s’acharnait sur mon clitoris et mes tétons avec ses pinces digitales.

Ma jouissance est arrivée comme un tsunami. C’était si v i o l e n t et d’une puissance inconnue jusqu’à ce soir là, que j’ai fait fontaine pour la première fois, en expulsant les plugs. Par chance, mes suppliques d’arrêter les oeufs vibrants ont été entendues, les vibrations étaient trop fortes pour une pauvre soumise « légume ».

La fille nous a rejoint sur le lit après avoir envoyé un texto avant de nous dire que son Maître serait là dans vingt minutes.

• Je te présente Karine, elle est la soumise de Maître Jean dont je t’ai parlé. Tu vas aller te faire belle, nous allons dîner au restaurant. Tu pourras sans souci te plaindre à Jean de toutes les méchancetés qu’elle t’a faite.

• Oui, elle a été très méchante et toi tu m’as faite cocue !

• Cocue c’est quand on ne sait pas ! Là, tu as participé à ton cocufiage et tu étais trop belle. As-tu aimé cette surprise ?

« Ah non, il ne m’a pas faite qu’au cul, il m’a prise partout » a répondu Karine.

• Finalement j’avoue que de vous voir ne m’a pas déplu, c’est original à vivre que de voir son mari s’envoyer en l’air avec une autre femme.

« Oui, surtout avec des trucs plein les trous, salope » a ajouté Karine avant d’éclater de rire.

• Oh toi, si tu savais ce que je vais raconter à ton Maître, tu ne ferais pas la maligne......

Ecrivaillon